Le passage de Choiseul, plus simplement nommé le passage Choiseul, est un passage couvert parisien situé dans le 2e arrondissement.
Le passage de Choiseul, plus simplement nommé le passage Choiseul, est un passage couvert parisien situé dans le 2e arrondissement.
The Passage Choiseul is on a site previously occupied by four hôtels particuliers, acquired by the Mallet Bank for a real-estate development that included the Opéra-Comique's nearby Salle Ventadour. The passage was built between 1826 and 1827, first to the designs of the architect François Mazois , then Antoine Tavernier. Mazois died before the building was complete, and Tavernier completed the work.
The author Louis-Ferdinand Céline lived here as a child in the early 20th century. The Passage Choiseul is mentioned in two of his novels: Journey to the End of the Night and Death on the Installment Plan. Céline described it as having gas lamps that "stank as badly as the stagnant air", and the aroma of "dogs urine" in the passage.
In 1907 the glass roof was replaced (although its ironwork dates from 1891). The passage later fell into disrepair. In the 1970s visitation increased when Kenzo opened a boutique in the passage. They have since relocated to the Place des Victoires.
Le passage Choiseul fut édifié entre 1825 et 1827 à proximité des Grands Boulevards, alors très fréquentés, à l'initiative de la banque Mallet et Cie en vue de réaliser une opération d'ordre spéculatif. Celle-ci devait avoir lieu dans le quadrilatère formé par les rues Gaillon, Saint-Augustin, Sainte-Anne, et des Petits-Champs.
Pour cela, on fit détruire les hôtels de Lionne, de Langlée, de Gesvres (dont le porche constitue encore l’entrée nord du passage) et Radepont, en projetant de construire des immeubles à leur place. Or, seul le passage Choiseul fut bâti finalement, car ce programme a été bouleversé par la construction du théâtre de l'Opéra-Comique (salle Ventadour de nos jours).
Les plans ont été dessinés par l'architecte François Mazois1 mais celui-ci ne verra pas l'achèvement de son travail puisqu'il meurt en 1826. La relève est assurée par Antoine Tavernier qui fut chargé de l'achèvement du passage. Ce dernier dressa les plans du passage Sainte-Anne, permettant un accès depuis l'est au passage Choiseul. À noter qu'un autre accès sur la rue Dalayrac a été ouvert côté ouest.
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