Josef Zezulka est né le 30 mars 1912 à Brno, mais il a vécu et travaillé à Prague. Il a 33 ans à Pâques 1945 lorsque, soudain, sa vie change, très mystérieusement. Il est dans un état étrange, comme si sa conscience était ouverte. Il dit : « C’était comme si je m’étais soudain remémoré quelque chose de connu jadis et oublié par la suite. » Il reçoit alors deux dons. Le don d’esprit, c’est-à-dire le don de connaître toute la réalité de la loi de la vie sans apprentissage et intermédiaires, et le don de guérison. Grâce à son don d’esprit il élabore la philosophie de l’Être et crée, par ailleurs, une nouvelle discipline thérapeutique, la biotronique. Rapidement, il devient guérisseur et spécialiste en biotronique de portée mondiale. Maintes fois il présente aux médecins ses traitements appliqués avec succès dans les maladies les plus sévères, il sauve de nombreuses vies humaines par son traitement efficace du cancer. Malgré la disgrâce de l’idéologie d’état, il connaît de grands succès à l’échelle internationale. Il est l’auteur d’une oeuvre philosophique complète qui prend naissance de façon très originale, car le don d’esprit ne se trouve pas « à tous les coins de la rue », il ne se reproduit qu’une fois tous les 2000 ans. À vous seuls de juger.
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Tomáš Pfeiffer:
Je suis assis dans une cuisine toute ordinaire, dans un immeuble d’habitation de Prague, un immeuble d’habitation tout ordinaire du quartier de Smichov. Je me tiens assis à une table.
Il se peut que le plus grand mystère de ces derniers siècles eut lieu précisément à cet endroit.
L’histoire de l’homme qui était assis à cet endroit avant moi, il y a de nombreuses années, avait commencé lorsqu’il avait trente ans, à Pâques, en 1945. Il était assis là lorsque, soudain, c’est arrivé.
Subitement, sans transition, sans qu’il s’intéresse à la philosophie, aux sciences religieuses ou à des disciplines semblables. C’est arrivé, comme ça, tout simplement.
Quelque chose a changé dans sa conscience, alors qu’il aurait été à ce moment-là incapable de le décrire lui-même.
Une sorte d’ouverture inattendue, telle un coup de foudre dans un ciel sans nuages. Cela voulait dire que toute son expérience, progressivement bâtie jusqu’alors, comme pour chacun de nous, a brusquement changé.
Il a soudainement compris que ce que nous, les hommes, considérions généralement comme notre réalité, comme une réalité irrévocable, la seule et unique réalité, n’était qu’en fait très souvent qu’une réalité relative et partielle.
Juste une partie de la réalité, mais pas l’intégralité de la réalité.
Josef Zezulka:
En fait, ma carrière active de guérisseur avait duré quarante-deux ans.
En tout, j’avais consacré à la guérison quarante-cinq ans. C’est donc une période très longue.
Vu que je possède deux dons, le don de, comment dirais-je, percevoir les lois de la vie, me servait pour mettre au point cette thérapie, cette biotronique.
Et, de ce fait, je suis devenu biotronicien.
Femme 1:
Monsieur Zezulka ne traitait, en réalité, que des personnes de son entourage, parce que, officiellement, ses activités n’étaient pas autorisées.
Il traitait ses malades ici, dans cette chambre qui est aujourd’hui, malheureusement, vide. Il venait ici.
Je crois qu’au cours de toute sa carrière de guérisseur, qui durait environ quarante-quatre ans, il avait guéri des milliers de malades.
Or, parallèlement, ces larges connaissances dans le domaine de la médecine étaient étonnantes, et, à mon avis, il s’en servait non seulement pour adapter ses traitements aux malades de façon pertinente, sur la base d’un diagnostic médical, mais également pour essayer, pendant toutes ces longues années, à établir une collaboration avec les médecins.
Cependant, il ne voulait en aucun cas les concurrencer car il disait toujours qu’il ne pouvait pas traiter tous les maux, qu’il ne pouvait guérir que les maladies d’origine bioénergétique.
Il disait que pour les autres affections il pourrait, par exemple, renforcer les défenses naturelles de l’organisme, mais que ces maladies-là relevaient bien du domaine de la médecine.
Homme 1:
De nombreux patients venaient ici, il y avait des chaises dans cette entrée qui servait alors de salle d’attente.
Il recevait ses patients, parfois il y en avait vingt, trente par jour, et il les recevait l’un après l’autre, par ordre chronologique. Le rendez-vous de chaque patient était fixé d’avance car dans cette petite entrée ils ne tiendraient pas tous à la fois.
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