MICHAEL SPYRES singing Masaniello's scene and aria "Ferme les yeux ... Du pauvre seul ami fidèle" from Daniel Auber's opera LA MUETTE DE PORTICI, recorded in Paris in April 2012

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Reviews for this performance:

"Happily, the main role is sung by Michael Spyres (Masaniello), a young American tenor with excellent French who has the best music in a very unequal score. His Act II Barcarolle is simply but exquisitely delivered and the range
of nuances he brings to "Du pauvre seul ami fidèle" even flirts with the art of Nicolai Gedda
and Gregory Kunde. Almost single-handedly, he makes the whole enterprise worthwhile."
Francis Carlin, Financial Times

"As Masaniello, the tenor Michael Spyres shows a genuine affinity for French style. He sings buoyantly in the fisherman's delightful barcarolle and invests the hauntingly beautiful lullaby "Du pauvre seul ami fidèle" with arresting pianissimos... ."
George Loomis, New York Times

"In a part originally written for Adolphe Nourritt, the American tenor Michael Spyres caused a sensation. Both his scenic and vocal agility was remarkable and his Masaniello could already enthuse with his barcerolle. His singing is amazingly natural and the low Ds, and there are several low Ds in the score, impressed with their projection. "Ferme tes yeux" was also mastered skillfully with a sophisticated use of the "voix mixte" and an ability to diminish his notes which made a veritable moment of poetry out of this Neapolitan lullaby. The French pronouncation shined with its clarity and the volume of his voice as well as his courage was notable, too. The cherry on the cake, a resounding high C in the end confirmed that Masaniello is the firstborn brother of Raoul in Les Huguenots.
Christophe Rizoud, Forum Opéra

"Dans un rôle pensé à la mesure d'Adolphe Nourrit, le ténor américain fait sensation. Remarquable d'aisance scénique et vocale, un tel Masaniello enthousiasme dès sa barcarolle. Le chant est confondant de naturel et les ré graves, qui en laisseraient plus d'un sur le carreau, impressionnants de projection. A l'opposé de la tessiture, « Ferme tes yeux » est tout aussi habilement négocié avec un usage varié de la voix mixte et une capacité à filer les sons qui font de la berceuse du napolitain un véritable moment de poésie. La prononciation du français brille par sa clarté. La puissance est au rendez-vous, la vaillance aussi. Cerise sur le gâteau, un contre-ut final percutant confirme que Masaniello est le frère aîné de Raoul des Huguenots."
Christophe Rizoud, Forum Opéra

"American tenor Michael Spyres as Masaniello distinguishes himself from the rest of the cast with his subtly nuanced and colourful singing. Only he is bringing some sensibility into this "Muette"... .
Philippe Venturini, Les Echos

"Le ténor américain Michael Spyres se distingue par son chant subtilement nuancé et coloré qu'il prête à Masaniello. Lui seul apporte un peu de sensibilité à cette « Muette » en définitive très sonore. "
Philippe Venturini, Les Echos

"... le remarquable Masaniello de Michael Spyres : dans ce rôle écrit pour Adolphe Nourrit, le ténor nous abreuve d'une musicalité délicate dans ses effets, jamais mièvre dans la tendresse ni tonitruant dans la révolte. Une leçon de classe... ."
Chantal Cazaux, L'Avant Scène Opéra

"Le ténor Michael Spyres domine sans conteste la distribution avec un engagement dramatique impressionnant dans l'interprétation de Masaniello. Particulièrement à l'aise dans le registre grave, il se joue de toutes les difficultés techniques de ce rôle périlleux, avec une diction parfaite."
Florent Coudeyrat, Les Trois Coups

"Mais c'est le jeune ténor (...) Michael Spyres qui incarne la clé de
voûte de l'oeuvre. Son Masaniello, tout de lumière et de franchise, sa voix à la fois claire et chaleureuse, son jeu direct, en font d'évidence un héros."
Webthea

"... l'Américain Michael Spyres (Masaniello), ténor ardent et sensible auquel on doit les moments (...) les plus intenses de la production... ."
Martine D. Mergeay, La Libre

"Per fortuna, c'era il cast maschile: hanno sollevato le sorti della serata l'esecuzione elegante di Maxim Mironov, la presenza inconfondibile di Laurent Alvaro e, soprattutto, l'eccezionale prodezza vocale del prodigioso Michael Spyres."
Alessandro Di Profio, Il giornale della musica

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