Pour le plaisir et comme j'aime chanter et que je suis à la retraite, je vais proposer des prestations à des EHPAD et autres.

J'ai appris à chanter par moi-même à partir de juillet 1974 dans le pavillon familiale ce qui me permettait de m'entraîner sans déranger les voisins.

J'avais, à la grande surprise de mes parents, refusé des vacances chez ma famille en Algérie. Je n'avais rien dit de mes projets. Je ne rigolais pas et je faisais 4 à 6 heures de vocalises et de chant. Comme il n'y avait pas les commodités actuelles, j'écrivais les textes en les écoutant avec les disques.

J'avais cherché la difficulté de chanter aussi haut que possible. Je m'étais entraîne sur des chansons de Claude François, Aznavour, Adamo et Enrico Macias. Les 3 derniers étaient les préférés de mon père et de moi.

Résultats: A deux reprises j'avais trouvé du sang sur l'oreiller qui avait inquiété ma belle-mère mais je m'étais empressé de la rassurer.

A partir d'août, pour gagner un peu d'argent de poche, j'étais vendeur en porte-à-porte de biscuits hollandais, payés au pourcentage.

Quand je tombais sur des immeubles avec des ascenseurs en panne, j'étais heureux.

Pour avoir du souffle en chantant, car je voulais en faire mon métier, je montais les marches chargeait de sacs tout en chantant. Idem lors de la descente. Inutile de dire que cela m'avait aidé pour vendre.

J'étais devenu en peu de temps le meilleur vendeur. J'avais même entendu des pièces tombées par terre alors que je chantais dans l'attente du camion. C'était assez rare et cela m'avait beaucoup amusé de voir l'argent tomber du ciel et un jour de voir un garçonnet sortir d'un pavillon pour me remettre 5 Francs de la part de son père qui aimait en plus Claude François.

Je peaufinerai plus tard !

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