Petites percussions: Fabien Hilly et Thibaut Gueriaux
Arrangements: Anissa Altmayer-Henzien / Laurent Jaïs

* PAROLES *
Regarde la respirer,
Belle inconnue qui danse et fait la fête
Laisse toi envoûter, par ce regard et ce parfum de miel
Laisse toi aguicher,
Par ses désirs qui te mettent la fièvre. Ça serait con d'y louper,
Le moment où tu trouves la fève !
C’est si facile que ça,
De tomber dans tes bras,
C’est si facile que ça
Mais toi tu ne le vois pas

Regarde la discuter,
Quand elle sourit là tu ne vois plus qu'elle Par contre le dos tourné,
C’est moins facile de la distinguer.
Tu ne vas pas y couper,
Car tu le vois au loin elle t’appelle Tu ne sais pas résister,
À la courbe lorsqu’elle Roucoule
C’est si facile que ça,
De tomber dans tes bras,
C’est si facile que ça,
Mais toi tu ne le vois pas


Deux trois phrases bien placés,
Voilà des mots qui devrait faire l’affaire. Un sourire échangé,
Et la parade peut recommencer.
Une vertu explorée,
Et demain on remet le couvert
Une bonne nuit enlacé,
Et demain je lui fais à l’envers…

C’est si facile que ça,
De tomber dans tes bras,
C’est si facile que ça,
Mais toi tu ne le vois pas


L’inconnue réveillée,
Toute discrète reprend ses affaires.
Rapidement habillée,
En un éclair s’est évaporée.
Dans la rue la connue,
L’air satisfaite retourne faire la fête.
Car l’avantage de découcher,
C’est qu’à la fin tu peux t’en aller !

C’est si facile que ça,
De tomber dans tes bras
C’est si facile que ça mais toi tu ne le vois pas !

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