Pratiquer la course au large avec un faible impact sur l’environnement, c’est l’ambition des skippers François Gabart et Gwénolé Gahinet. Brut les a rencontrés sur le trimaran Macif.
La légèreté du trimaran est essentielle dans le cadre d’une course au large. Porté par le vent, le trimaran est équipé de panneaux solaires et ne dispose que d’une quantité minimale de gasoil, pour subvenir aux besoins des skippers.
Optimiser l’espace pour réduire le poids du trimaran et améliorer sa rapidité, c’est l’objectif de François Gabart et Gwénolé Gahinet. Déjà très minimalistes, les skippers n’ont emporté que le nécessaire et tente de limiter l’utilisation du plastique à usage unique dans le cadre de leur alimentation.
Pour Gwénolé Gahinet, le coéquipier de François Gabart amateur de low-tech, il est essentiel de réduire les déchets à bord du trimaran, comme en utilisant des bidons plutôt que du plastique à usage unique pour transporter le riz. Son message, « On prétend pas être parfaits mais on essaie de progresser et d’aller dans le bon sens ».
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