One rotates around the earth's axis between several continents while the other rotates around its bodily axis. A spatial and vital necessity that brings together in a central point the choreographer dramaturge Arco Renz and the dancer-choreographer Danielle Allouma for the creation of this solo.

In reference to the frequency 2349.32 Hz, attributed to the musical note RE, and to the rotating body, REvolutions 2349 seeks to transform our sensory perceptions and allows our imaginations to radiate beyond their anchorage.

Three spirals - dance, music, light - articulate on stage in a hypnotic intertwining where space and time are tangible forces at work, constraining structural frameworks.

An archetype of dance and spiritual customs, this revolution of the body, enslaved by its freedom and free in its enslavement, is as old as the history of humanity.

And like a cursor in this line of time, Danielle Allouma's danced generative body negotiates its freedom of movement there as an ode to change and our thirst for emancipation.

This body is completely available, an empty point, as potential, spinning in the eye of the storm. It is a sphere, a figure of vector energy.

Projecting itself into a space imperceptible to the naked eye, this body is in constant transformation, what is constant is what is constantly changing.

Like an irregular spiral that continually rises, this body is a process of intensification, an accumulation of forces arising in the world, reaching critical points, matrices of momentum, and sparks as the imagination spins…

Francais:

L'un tourne autour de l'axe terrestre entre plusieurs continents alors que l'autre tourne autour de son axe corporel. Une nécessité spatiale et vitale qui réunit en un point central le dramaturge chorégraphe Arco Renz et la danseuse chorégraphe Danielle Allouma pour la création de ce solo.



En référence à la fréquence 2349,32 Hz, attribuée à la note de musique RE, et au corps en rotation, REvolutions 2349 se met en quête de transformer nos perceptions sensorielles et de permet à nos imaginaires de rayonner au-delà de leur ancrage.


Trois spirales - danse, musique, lumière - s’articulent sur scène dans une imbrication hypnotique où l'espace et le temps sont des forces tangibles à l'œuvre, des cadres structurels contraignants.

Archétype de la danse et des coutumes spirituelles, cette révolution du corps, asservi par sa liberté et libre dans son asservissement, est aussi ancienne que l’histoire de l’humanité.

Et comme un curseur dans cette ligne de temps, le corps génératif dansé de Danielle Allouma y négocie sa liberté de mouvement comme une ode au changement et à notre soif d'émancipation.


Ce corps est complètement disponible, un point vide, en tant que potentiel, tournant dans l'œil du cyclone. C'est une sphère, une figure d'énergie vectorielle.

Se projetant dans un espace imperceptible à l'œil nu, ce corps est en constante transformation, ce qui est constant est ce qui change constamment.

Comme une spirale irrégulière qui monte continuellement, ce corps est un processus d'intensification, une accumulation de forces surgissant dans le monde, atteignant des points critiques, des matrices d'élan et d'étincelle tandis que l'imagination tourne…

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