Dans la région orientale ravagée par la guerre de la République Démocratique du Congo (RDC), un développement significatif a émergé suite à une série de sessions de formation complètes axées sur l'éducation aux droits de l'homme. Cette vidéo capture le moment où les jeunes combattants de la résistance Wazalendo prennent des mesures décisives contre les cachots souterrains utilisés par les Forces de Défense Rwandaises (RDF) dirigées par Kagame et leurs alliés, les rebelles du M23. Ces installations cachées étaient des lieux de détention illégale, où de nombreuses personnes étaient emprisonnées pour diverses raisons, souvent sans procédure légale. Les combattants Wazalendo, animés par un nouvel engagement envers la justice et les droits de l'homme, sont vus en train de démanteler ces prisons de fortune, détruisant symboliquement un système d'oppression et offrant un espoir aux nombreux souffrants enfermés dans ces murs. La destruction de ces cachots marque une étape cruciale dans leur résistance, reflétant leur détermination à restaurer la dignité et la justice aux communautés affectées de l'est de la RDC.
"Nous allons défendre notre pays tout en respectant les droits de l'homme", déclare l'un des commandants sur place. Cette déclaration résume l'équilibre délicat que l'armée cherche à atteindre en ces temps de tensions croissantes. Le commandant a précisé que leurs opérations stratégiques se concentreront sur la sauvegarde de la souveraineté nationale tout en assurant le respect des lois internationales sur les droits de l'homme. Les troupes ont suivi une formation approfondie sur les règles d'engagement, qui mettent l'accent sur la protection des vies et des biens civils. De plus, l'armée a mis en place des protocoles pour prévenir et traiter les éventuelles violations des droits de l'homme, y compris le déploiement d'officiers des droits de l'homme sur le terrain. En intégrant ces mesures, le commandant souhaite démontrer que la poursuite de la sécurité nationale ne nécessite pas de compromettre les droits humains fondamentaux, renforçant ainsi leur engagement à une conduite éthique même en période de conflit.
Kagame et ses associés doivent reconnaître que leurs crimes en République Démocratique du Congo (RDC) ne resteront pas impunis. La récente inculpation du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu par la Cour Pénale Internationale (CPI) rappelle fermement la responsabilité qui attend ceux qui commettent de graves violations du droit international. L'inculpation de Netanyahu pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité souligne l'engagement de la communauté internationale envers la justice et l'état de droit, indépendamment du pouvoir politique ou de l'influence. De même, Kagame et son groupe peuvent s'attendre à ce que leurs actions en RDC—qu'il s'agisse de violations des droits de l'homme, d'exploitation des ressources naturelles ou d'autres formes de violence—soient minutieusement documentées et scrutées par les organismes internationaux. En fin de compte, ils seront tenus responsables de la même manière, faisant face à d'éventuelles accusations et poursuites pour leurs actions, réaffirmant le principe que personne n'est au-dessus des lois.#congo #wazalendo #m23
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