Andrew MacLeod, ancien haut fonctionnaire australo-britannique de l'ONU, porte de graves accusations à l’encontre des Nations Unies. Selon lui, les employés de l'ONU ont été impliqués dans près de 60 000 viols au cours de la dernière décennie.
C'est ce qu'a récemment rapporté le journal britannique The Sun en citant le dossier que MacLeod a remis à la ministre britannique du Développement international, Priti Patel. MacLeod estime que plus de 3 000 pédophiles travaillent dans l’humanitaire pour l'ONU dans le monde. Priti Patel a accusé la haute direction de son ministère d'avoir dissimulé les déclarations des dossiers MacLeod. Toutes ces tentatives pour attirer l’attention sur le scandale de l'ONU et les accusations contre les organisations humanitaires telles que Oxfam, Save the Children et Christian Aid ont été neutralisées. Elle parle d'une « culture du silence » au sein des organisations d'aide humanitaire. Dans un premier temps, l'ONU a nommé une représentante pour les victimes d'abus sexuels. Mais s'agissait-il seulement d’une formalité administrative ou y a-t-il une réelle volonté de porter plainte pour les crimes commis et de prévenir les agressions sexuelles à l’avenir ?

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