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Sortie Single "James Dean" le 10 mars


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Clip Réalisé par Carol Teillard d'Eyry
Sur une idée originale d'Almée

Cadistry : Dimitri Arleri
Danseurs : Clément Gyselinck, Alexandre Gastoud, Xavier Laffite, Nathalie Bersanetti, Sandra Pericou, Julie Laventure
Chorégraphie : Clément Gyselinck

Image & Etalonnage : Nicolas Pradeau
Montage : Carol Teillard d'Eyry
Assistant Caméra : Loïs Djouber
Chef Electro : Jeff Ramananjaona
Electros : Romain Pulido, Charlotte Davy, Alice Noyalo
Stylisme : Victoria Rastello
Make Up : Margot Moine
Régie : Benjamin Mocellin
Making of : Mickaël Gilles

Un immense merci Benjamin Dumas et Bénédicte Dubois du Théâtre du Ranelagh

"C'est Vrai"
Texte et musique : Almée
Réalisation et Arrangements : ALB (Clément Daquin)
Mastering : Eric Najar
Label : 29Music
Distribution : Kuroneko
2022 © 29Music & Frida
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C’est vrai, c’est vrai, c’est vrai, c’est vrai
C’est vrai, c’est vrai, c’est vrai

L’écho du dehors noie nos états
Malgré les efforts j’oublie ta voix

Et toutes les vies parallèles se perdent avec toi
Les épopées personnelles ne pousseront plus là
Les points de vue qui s’emmêlent effleurent le combat
Sans tes yeux qui se rappellent le monde oubliera

Sur les vestiges d’un quai de gare
Entre la nuit et le brouillard
Je pensais savoir - mais c’est toujours plus noir

L’imprescriptible m’impressionne
Ces imprécises impressions
D’un obscur firmament où les étoiles s’étonnent

L’écho du dehors noie nos états
Malgré les efforts j’oublie ta voix
Et toutes les vies parallèles se perdent avec toi
Les épopées personnelles ne pousseront plus là
Les points de vue qui s’emmêlent effleurent le combat
Sans tes yeux qui se rappellent le monde oubliera

Nos mémoires blanches surexposées
Dans cette obscène sérénité
Vis heureux vis caché
Au présent limité

Sous les mots vides banalité
Du mal et des chiffres étalés
Les millions, les années
Toute une immensité

L’espèce humaine dans le sillage
De cet horizon sans rivages
La violence du passage
Où sont brûlées les pages

Passé coupable un nouveau temps
Tissé au fil de nos présents
On s’excuse on apprend
A juste être vivant

L’écho du dehors noie nos états
Malgré les efforts j’oublie ta voix

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