Convulsive movements, rapidity of execution, dislocated bodies: Marco Goecke’s choreographic language is like none other. It does not belong to any movement nor draw inspiration from any other. It happens. It allows bodies to speak, cry out, and stir. Starting with a simple gesture of the hand, a facial expression or even an autobiographical anecdote, the choreographer offers striking images. Invited for the first time to create a piece for the Paris Opera Ballet, he encourages dancers and audiences alike to break free from the classical codes and to question the nature of the body…and man himself.
Mouvements saccadés, rapidité d’exécution, corps disloqués : le langage chorégraphique de Marco Goecke n’a d’égal que lui-même. Il ne s’inscrit dans aucun courant, ne s’inspire d’aucun autre. Il advient, laisse les corps parler, hurler, s’émouvoir. En partant d’un geste simple de la main, d’une expression du visage ou encore d’une anecdote autobiographique, le chorégraphe déploie des images saisissantes. Invité pour la première fois à créer une pièce pour le Ballet de l’Opéra national de Paris, il encourage danseurs et spectateurs à s’affranchir des codes classiques et à sortir d’eux-mêmes, pour mieux questionner la nature du corps…et de l’homme.
Cherkaoui / Goecke / Lidberg, du 5 février au 2 mars 2019 au Palais Garnier
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