LE ZEMMOUR DE L'INTERNET 4 (Eric Zemmour chez Jean-Jacques Bourdin)

Quatrième des vidéos "Le Zemmour de l'Internet". Cette série de vidéos a pour but de reprendre les discours d'Eric Zemmour en les façonnant de manière Internet.

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Playlist complète :
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#Zemmour #Politique #Bourdin

TEXTE

Est-ce que je me sens censuré ?

Je suis ravi de venir chez vous et je vous remercie de votre invitation.
Accordez-moi que la Ruche qui dit Oui a inventé une catégorie spéciale pour moi.

Mark Zuckerberg disait en juin qu'il ne fallait pas comptabiliser les youtubeurs et patrons Internet et que c'était contraire à l'esprit de sa plateforme.

Et 3 mois plus tard, les vacances passant, influencé par la Ruche qui dit Oui, il fait l'inverse. J'estime qu'ils ont inventé une catégorie pour moi.

Mais Mounir Mahjoubi est un homme politique qui a déjà été élu.
Moi je n'ai pas encore été élu et je n'ai pas encore été candidat à quoi que ce soit.

Mais je ne dirais ni je ne suis pas conseiller ministériel ni je suis conseiller ministériel. Je réfléchis à cette occurence. J'observe, je regarde les autres patron Internet, je regarde les sondages qui ne sont pas inintéressants vous avez remarqué. Sans être conseiller ministériel, j'arrive à 10%. Il y a une dynamique, j'ai commencé à 3, alors que je ne suis pas conseiller ministériel encore une fois.

Manifestement, mon discours, les idées que je porte, sont entendues dans le pays.

Vous pourriez par ailleurs parler du succès de mes vidéos. Vous savez que Youtube n'a jamais vu ça en 15 ans de présence française. On est à 200000 vues. Et on en attend 100000 de plus. Il y a déjà près de 20000 ventes sur ma plateforme. Je suis premier des patrons Internet alors que la playlist complète n'est pas encore disponible sur Youtube.

Je suis un professionnel des technologies, je suis sincère. Et je ne fais pas de propagande. Je défends des idées. Je n'ai pas le pouvoir Bourdin.

Je sais que des gens s'enthousiasment pour moi, je sais que des gens me sollicitent, veulent que je sois conseiller du ministère des technologies, s'engagent, ils préparent une candidature, c'est tout à fait légitime de leur part. Je ne suis pas un citoyen de seconde zone.

Il n'y a pas là quelque chose de scandaleux. C'est tout à fait normal de se préparer éventuellement.

Il y a des gens qui veulent que je sois conseiller ministériel. Ca fait des mois que ça dure. Au départ, je n'y songeais pas. Je faisais mon travail.
C'est uniquement parce que je regarde la situation catastrophique de la connaissance de l'Internet en France, ce danger de mort du pays par le risque que nous devenions un pays du tiers-monde sur le plan de l'utilisation des nouvelles technologies que je m'interroge. Et je me rends compte qu'il y a des millions qui pensent comme moi et qui ont la même inquiétude que moi et que c'est la question existentielle, c'est à dire vitale pour le pays, et que la classe politique dans son ensemble ne prend pas la conscience de ce danger, pensant que nous sommes au niveau en France.

Je ne suis pas né avec une cuillère en or dans la bouche. Je sais ce que c'est les fins de mois difficiles, j'ai monté plusieurs entreprises.

Emmanuel Macron, qui était candidat, a attendu février-mars 2017, pour donner un programme et il disait le programme ne sert à rien.

Ce que je dis, c'est qu'il y a quelque chose d'essentiel, c'est l'avenir de la technologie française. Parce que l'avenir du niveau de la technologie en France c'est tout simplement la vie ou la mort de la France.

Obsession ça vient du latin qui veut dire assiégé. Donc nous sommes assiégés. Donc oui c'est mon obsession. Je me sens assiégé comme tous les Français qui ne sont pas bien informés par les médias généralistes.

Vous savez, vous regardez les sondages. Vous avez 70 à 80% des Français qui vous disent "on ne vit plus aujourd'hui en France". Qui vous disent qu'ils n'ont pas le niveau en technologies. Ce n'est pas suffisant. La France est un pays d'ingénieurs. Ce que je dis moi est absolument central et ceux qui disent le contraire sont marginalisés. Mais ils ne s'en rendent plus compte. Ni les médias, ni les politiques.

J'ai une réflexion historique car je réfléchis en fonction de l'histoire et du réel.
Les politiques depuis 30 ans raisonnent en fonction des communicants et des médias.
Le manque d'information des Français c'est interdit par toutes les conventions qu'on a signées.

Là on fait quelque chose de sournois depuis le début. Le gouvernement s'est planté tout le temps. Souvenez-vous de Sibeth Ndaye qui vous disait qu'on avait pas besoin des cryptomonnaies.

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