Il semblerait qu'il y ait du rififi sur les quais. Forcément, avec des mafieux du cru et un phalanstère de ninjas en train de s'expliquer à l'amiable, sous l'oeil torve d'un vigilante un rien psychopathe... Tout ce joyeux monde s'ébat parmi les roquettes symphoniques décochées par Dennis Dreith sur fond de pulsations synthétiques — la recette miracle de moult musiques d'action portant le sceau des eighties, et dont le compositeur fait usage avec un brio qui laisse à regretter qu'Hollywood ne lui ait pas confié davantage d'ouvrage.
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