Après le coup d'État organisé par l'impérialisme , à sa tête la CIA, contre le régime Révolutionnaire du président Kwame Nkrumah en février 1966 alors qu'il était en tournée dans les pays de l'Est. Le président Ahmed Sékou Touré avec rage dénonce les “traîtres militaires du Ghana”, l'impérialisme et les dirigeants fantoches africains.
Il mobilisera plus de 23.000 soldats de l'armée populaire guineenne pour chasser «Ankrah le bandit d'Accra», le putschiste téléguidé par les impérialistes.
Le président Houphouet Boigny de la Côte d'Ivoire s'opposera fermement au passage des soldats guinéens sur le territoire ivoirien et dénonça Sékou Touré comme voulant remettre au pouvoir son «complice Kwame Nkrumah» son (Houphouet Boigny) plus « grand mortel ennemi en terre d'Afrique».
Kwame Nkrumah choisira la Guinée comme sa seconde patrie , il sera nommé Co-président de la République de Guinée jusqu'à son décès en 1972 ( Nous avons préparé plusieurs vidéos de ses funérailles à Conakry et au Ghana).
A rappeler que le président Kwame Nkrumah avait fait face dans son pays à plusieurs tentatives d'assassinat, ce qui lui avait valu le qualificatif de : « Kwame Nkrumah ne meurt jamais».
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