« Le bracelet électronique, on peut l’avoir pour n’importe quoi. (…) Certains l’ont pour des faits de roulage, d’autres sont là pour pédophilie, meurtre. »
Mais, est-ce une alternative à la prison ?
C'est la question à laquelle nous avons tenté de répondre en rencontrant des détenus surveillés par ce dispositif.
Yvan* est un agent de la Direction du centre de la surveillance électronique de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Il fait partie des équipes qui encadrent et mettent en œuvre cette alternative à l'incarcération.
En Belgique, 20% des personnes privées de liberté optent pour la surveillance électronique. Contrôlées 24h/24, 7 jours sur 7, elles risquent un allongement de peine ou une incarcération en cas de non-respect des règles !
Du placement du bracelet au jour de la libération, Vews s’est immergé au sein de la surveillance électronique pour mieux comprendre son fonctionnement. La vidéo complète est disponible sur notre compte YouTube (Lien en bio).
*prénom d’emprunt
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