Le continent africain est aujourd’hui sous le joug de la digitalisation bancaire, pour faciliter toute transaction financière et autres paiements. Elle rejoint l’apport des FINTECH, qui peut-être défini comme l’arrivée des nouvelles technologies comme support de la finance traditionnelle.

Ce support s’établit dans le principe d’une lutte contre la pauvreté au sein du continent africain notamment à travers l’insertion de chaque individu au sein d’un système bancaire et notamment, l’accès à des offres bancaires accessibles à tous empêchant tout exclusion bancaire. Cependant, l’Afrique est aujourd’hui sous bancarisée.

L’inclusion financière traditionnelle, mettant en avant ici le combat contre la précarité à travers les banques traditionnelles, propose une sortie de la précarité sans en assurer un non-retour dans celle-ci. Ainsi endettements, taxes, ponctions et plusieurs autres facteurs peuvent conduire à un retour à la précarité.

Ainsi les FINTECH, de part leur apparition, ont établi un accroissement de la bancarisation car les doutes et les difficultés, voire les contraintes, des banques traditionnelles y sont effacées.

Nous pouvons ainsi nous demander, en quoi la digitalisation bancaire a pu pallier les carences de l’inclusion financière en Afrique et notamment au sein de l’Océan Indien ?

Gervais ATTA se focalisera sur la finance inclusive en Afrique, puis dans un second temps sur les lacunes de l’inclusion financière au sein de l’Océan Indien et en Afrique et enfin sur l’impact des FINTECH.

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