Adolescente, elle se rasait la tête pour être libre à Téhéran. Golshifteh Farahani, exilée d’Iran depuis 2008, se demande si « ce ne sont pas les rôles qui nous choisissent ». À l’affiche du haletant « Roqya », l’actrice revient sur sa vie, où l’art et la politique sont inséparables.
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