Bars, clubs éphémères, soirées illégales, pour les boîtes de nuit historique de la capitale, la concurrence est de plus en plus rude.
Leur chiffre d'affaires a chuté de plusieurs millions d'euros l'année dernière.
Alors pour reconquérir leur clientèle, les patrons des discothèques ont décidé d'utiliser une arme redoutable.
Alexandra, 24 ans n'est pas une noctambule comme les autres. Alexandra ne paye jamais lorsqu'elle sort, mais elle ne choisit ni les boîtes de nuit, ni des amis avec qui elle va passer la soirée. Elle travaille avec ces deux hommes, on les appelle des promoteurs. Ils sont payés par des clubs parisiens pour ramener chaque soir de jolies filles.
C'est la première fois qu'ils acceptent de livrer les coulisses de leur métier.
