“I can move around, but something else is making my choices.” Monique (Gabby Beans, HOUSE OF CARDS) has been quarantining with her father and brother a good distance away from town, in a bubble they’ve worked hard to maintain. One day, her oldest friend, Mavis (Emily Davis, THE PLAGIARIST), reaches out in a state of mortal fear, tormented by dreams so intense that she’s unable to wake, sleeping through alarms, sometimes laying trapped in a nightmare state for days. Monique drives into New York city to visit Mavis at her Queens apartment, in a building now racked with grief and distrust. She soon discovers that the dreams haunting her friend are contagious. Along with the demon behind them. The Harbinger. Attracted to cities through dark energies brought out by the pandemic, it visits its victims wearing a plague mask, bending the threads of reality to erase every trace of their existence. Monique is not ready to be forgotten.
Award-winning writer/director/editor/composer Andy Mitton (THE WITCH IN THE WINDOW, WE GO ON) returns with his unique brand of empathetic supernatural horror. Deeply sad, deeply scary and all-out stunning in its power to stir collective trauma bonds, THE HARBINGER bursts with occult imagination, exploring the anxieties and disorientations that the last few years have wrought upon us in ways that only Mitton could accomplish. A sort of pandemic on Elm Street with multi-pronged razors, intricately dimensioned characters and a heartbreaking central performance from Beans, it will have you simultaneously on the edge of your seat and holding back tears. Count on it haunting your dreams.
« Je suis capable de me mouvoir, mais quelque chose d'autre prend toutes les décisions à ma place. » Monique (Gabby Beans, HOUSE OF CARDS) vit en confinement avec son frère et son père, loin de la ville, dans une bulle familiale qu'ils maintiennent avec vigilance. Un jour, la plus vieille amie de Monique lui lance un appel de détresse terrifié. En effet, Mavis (Emily Davis, THE PLAGIARIST) est tourmentée par d'horribles cauchemars pouvant se prolonger durant des jours. Malgré les alarmes et autres sonneries programmées, elle est prise au piège, incapable de se réveiller. Monique prend donc sa voiture, roule jusqu'à New York, et se rend à l'appartement de Mavis, dans Queens. Elle découvre alors que les cauchemars affligeant son amie sont de nature contagieuse, et que l'immeuble au complet est affecté. Tout ça est l'œuvre d'un démon suscité par la pandémie, portant le masque de la peste, et qui se repaît de l'énergie obscure du confinement; il sait manipuler les aspects de la réalité afin d'effacer jusqu'à la moindre trace de l'existence de ses victimes. Monique, elle, refuse farouchement de disparaître.
Scénariste, réalisateur, monteur, compositeur, lauréat de plusieurs prix, Andy Mitton a déjà signé THE WITCH IN THE WINDOW ainsi que WE GO ON. Il est maintenant de retour avec son mélange unique d'horreur empathique et surnaturelle. D'une tristesse profonde, THE HARBINGER déborde littéralement d'imagination occulte, explorant la myriade d'anxiétés que nous avons toutes et tous vécues depuis les deux dernières années. Un NIGHTMARE ON ELM STREET version pandémie avec lames de rasoir multiusage, comme seul Mitton pouvait le faire. La performance de Gabby Beans est à briser le cœur, et tous les personnages sont d'une grande complexité. On s'en ronge les ongles, et on en a les larmes aux yeux. Ce film reviendra vous hanter dans votre sommeil.
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