Agression rwandaise : Infos recentes sur les lignes de front, suite des actualités de ce lundi 5/8/24
98 policiers ont fui l'avancée des M23 en Ouganda. Ils n'avaient que 43 fusils et quelques munitions.
Questions :
1. Donc ils utilisaient une arme pour deux policiers ?
2. Comment pouvaient-ils défendre Ishasha ainsi ?
3. Certains ont-ils abandonné ou vendu leurs armes ?
4. Quand ils reviendront en RDC, pensez-vous qu'ils méritent vraiment la peine de mort pour avoir fui les rebelles, en n'ayant que 43 armes et étant au nombre de 98 ?
Le Président a juré de ramener la paix à n'importe quel prix. Très honnêtement, comment on peut laisser une cité stratégique et frontalière comme Ishasha avec seulement 43 armes et 98 policiers ? Et puis, comme ils ont fui, donc il seront condamnés à la pendaison. Faut-il laisser les gens mourir vraiment ? Sachant que leur salaire est de 75 dollars ? Posons nous les bonnes questions les amis.
Deux positions du groupe Wazalendo UPLC se trouvant dans les entités de Kyavisogho et Mbiringa, dans le groupement Malio de la chefferie de Basha, dans le territoire de Beni, province du Nord-Kivu, ont été attaquées simultanément par des inconnus armés le samedi 3 août 2024. Selon maître Mutsunga Bin Sikwaya coordinateur adjoint de la Nouvelle société civile congolaise dans le territoire de Beni, qui livre la nouvelle à Actu30.cd ce dimanche, ces inconnus munis d’armes blanches et à feu, ont reduit les deux positions UPLC en cendres avant de se volatiliser pour une destination inconnue. Des pertes en vie humaine sont également signalées. En effet, 3 corps sans vie ont été retrouvés à Kyavisogho sans pour autant identifiés. « Ils ont attaqué pendant quelques minutes ces deux positions et ils ont réussi à incendier toutes les deux positions et des pertes en vie humaine ont été enregistrées sans savoir si c’est du côté de ces assaillants non identifiés ou du côté de UPLC. 3 corps sans vie ont été retrouvés à la position UPLC de Kyavisogho et d’autres à la position de Mbilinga », a-t-il déclaré. La Nouvelle société civile congolaise plaide pour la restauration de l’autorité de l’état dans cette partie du territoire de Beni, où l’insécurité ne cesse de produire des conséquences incalculable. Nous n’avais réussi à avoir la réaction de l’armée congolaise.
Un militaire des Forces armées de la République démocratique du Congo (FARDC) incontrôlé a tiré à bout portant sur un conducteur de moto-taxi, la nuit de samedi à ce dimanche 4 août 2024, au niveau du village Kabaya, dans le groupement Muningi, territoire de Nyiragongo, au Nord-Kivu. D’après Thierry Gasisiro, secrétaire technique de la société civile de Nyiragongo, la victime qui a reçu des balles, s’est opposée aux menaces des militaires qui ravissaient des motos aux passagers. La société civile s’insurge contre ce nouveau cas d’assassinat et plaide pour l’ouverture des enquêtes en vue d’identifier le militaire, auteur de cet acte criminel. Contacté pour obtenir sa version de fait, l’administrateur militaire du territoire de Nyiragongo est resté injoignable.
