Ouverture
Hymne : Au seul mot que tu prononces
Oraison
Psaumes 113A, 27, 83, Cantique C 15 (texte ci-dessous)
NT 1
C 15, Romains 8
L’Esprit de Dieu lui-même atteste à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu.
Enfants, et donc héritiers, héritiers de Dieu, cohéritiers du Christ ; puisque nous avons part à ses souffrances pour avoir part à sa gloire.
J’estime que les souffrances du temps présent ne sont pas comparables à la gloire qui doit être révélée en nous.
Car la création en attente aspire à la révélation des fils de Dieu : livrée au pouvoir du néant, elle garde l’espérance.
Elle sera libérée de la servitude de la corruption, pour avoir part à la liberté et à la gloire des enfants de Dieu.
Nous le savons en effet, jusqu’à ce jour, la création tout entière gémit dans les douleurs de l’enfantement. Et elle n’est pas seule.
Nous aussi, qui possédons les prémices de l’Esprit, nous gémissons au fond de notre cœur, dans l’attente de l’adoption, la rédemption pour notre corps.
Car nous sommes sauvés, mais c’est en espérance, et voir ce qu’on espère ce n’est plus l’espérer.
Ce que l’on voit, comment l’espérer encore ? Mais espérer ce que l’on ne voit pas, c’est persévérer dans l’attente.
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